La communauté Waorani de Gomateon est toute petite.
Nichée au cœur de la forêt amazonienne équatorienne, sur les rives du fleuve Nushino, elle compte 8 enfants dont seulement 5 sont en âge d’aller à l’école.
On voit ici, Pita (7 ans), Khal (5 ans), Janiera (8 ans), Nahomi (9 ans) et Alizé (8 ans) avec leur professeure, Djamila, le jour de la rentrée.
Depuis des années, la communauté se heurte à un mur dans ses demandes au gouvernement équatorien : impossible d’avoir une école, impossible d’envoyer un professeur.
Raison invoquée : il n’y a pas assez d’élèves et la communauté située trop loin dans la jungle.
Les enfant n’ont donc pas accès à l’éducation, un droit pourtant fondamental.